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Les victimes d'accidents technologiques sont mises au premier plan grâce à un nouveau système d'indemnisation


Les victimes d'une catastrophe technologique, comme l'explosion de gaz à Ghislenghien en 2004, ne devront dorénavant plus attendre que les responsabilités soient fixées pour obtenir une indemnisation de leurs dommages corporels et moraux.


Une loi  prévoyant un nouveau système d'indemnisation entre en vigueur le 1er novembre 2012. Cette information est communiquée par Assuralia, l’union professionnelle des entreprises d’assurances, et la parlementaire MR Marie-Christine Marghem, l'initiatrice de la loi.

Lors d'une catastrophe technologique, il est souvent difficile de déterminer qui est responsable et qui a droit à quelle indemnité. Les victimes et leurs proches endurent non seulement un long et éprouvant processus de guérison, mais ils demeurent aussi parfois longtemps dans l'incertitude et peuvent se retrouver dans une situation de difficultés financières parce que la responsabilité n'a pas encore été établie par le juge. C'est la raison pour laquelle le Parlement a élaboré un système spécifique d'indemnisation à l'initiative de Marie-Christine Marghem (MR). "Je suis extrêmement satisfaite du fait que nous ayons pu élaborer, au sein du Parlement, une solution qui ôte désormais tout incertitude en ce qui concerne l'indemnisation des victimes de catastrophes technologiques. Celle de Ghislenghien reste à jamais gravée dans notre mémoire", déclare la députée à la Chambre.

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